Vous êtes un parieur, amoureux des courses de chevaux et vous vibrez, tout comme moi, lors des arrivées !
Mais vous souhaitez avoir une nouvelle approche sur les pronostics. Il vous manque ce petit quelque chose pour faire rayonner votre vie de turfiste.
Une autre vision, des pronos détaillés, des sélections différentes vous apporteront ce qu’il vous manque.
Pourquoi les turfistes perdent ?
Aaaaah, vaste question qui mérite plusieurs réponses.
Pas de miracle, l’études des courses requiert un savoir faire.
- L’appât du gain qui les font jouer principalement des quintés pour toucher l’ordre ou un gros gain de suite.
- L’impatience, d’où des changements réguliers de stratégie de jeu.
- Ne pas sélectionner les courses.
- Un bankroll management défaillant.
- Une mauvaise stratégie sur les paris.
Le TRJ, taux de retour joueur, est une notion essentielle à maitriser pour tous les parieurs. En effet, il est important de savoir exactement quel part prend le bookmaker pour obtenir de la marge au niveau des gains.
Ainsi, il faut avoir une approche professionnelle :
- Une bonne sélection des courses. Bye bye le quinté !
- Une bonne sélection des chevaux.
- Une bonne sélection des paris hippiques.
Une bonne sélection ?
Déjà, il faut trier les courses car certaines sont de la loterie même dans les courses de trot.
Avoir l’œil et détecter les chevaux avec une chance est un vrai travail à part entière. Cela demande du temps de comprendre la manière de courir d’un cheval, ses performances, de savoir aussi comment sont ciblées les courses par son entraineur. Et bien entendu, le driver ou jockey jouent un rôle final dans la conclusion d’une course.
Un cheval peut être malheureux, retrouver sa discipline préférée, revenir en forme, s’améliorer avec l’âge, avec une ferrure, … et cela prend du temps de maitriser tous ces facteurs.
Oui, cela prend du temps de temps de repérer les prochains gagnants.
Mon temps consacré pour vous !
Cette activité chronophage, vous ne l’aurez pas. C’est moi qui réalise les tableaux d’analyse, qui visionnent les courses, qui notent les commentaires des entraineurs ou drivers, qui réalisent les statistiques pour établir les meilleurs pronos.
Je consacre mon temps entièrement à votre réussite.
Faites le papier, pariez et vibrez !
Savoir miser ?
Par exemple, si vous jouez uniquement en jeu simple gagnant sur le 1e favori, vous serez perdant à terme. Je peux même vous dire de combien vous perdrez ! Vous perdrez le prélèvement du bookmaker soit environ 15% de vos mises accumulées. Alors oui, vous pourrez être positif sur du court terme mais la réalité prendra le dessus. Et sur vos 100 euros engagés, 85 euros reviendront dans votre poche. C’est ainsi que fonctionnent les bookmakers. Il faut bien qu’ils gagnent leurs vies.
Il est important de savoir cibler les courses qui vont amener des rapports spéculatifs.
Une réflexion basée sur la bourse !
Pour gagner, pas de secret. Il faut jouer contre les favoris.
Il faut avoir l’expérience des courses de chevaux pour cibler les belles cotes.
Et la bourse ? Tout simplement, si vous achetez des actions de sociétés spéculatives (Small caps et grotwh), vous aurez des déceptions et des échecs. Et je vais vous faire peur, vous aurez plus d’échecs que de réussites. Car oui, dans les courses, vous ne gagnerez pas sur toutes les courses. Pire, vous ne gagnerez pas tous les jours comme sur les marchés boursiers. Et la bourse fait du + 10% par en moyenne alors qu’elle peut enchainer pendant plusieurs mois des contre performances …
Mais il suffit d’un cheval ou d’une action pour récupérer les pertes des choix perdants. La rentabilité, il n’y a que cette donnée à prendre en compte à la fin pour définir si tel ou tel investissement est intéressant.
Le début d’un partenariat réussi ?
Mais qui suis-je dans les monde des chevaux ?
Je m’appelle Jérôme et je suis l’heureux propriétaire de la chaine youtube et du blog bearbull consacrés à ma passion de l’investissement et des courses hippiques.
Je suis un investisseur qui met en pratique ses connaissances dans les paris hippiques. Parieur expérimenté de 30 ans d’âge, comme le bon vin, j’aime analyser les courses.
J’ai été aussi propriétaire d’un cheval de course, qui n’a pas fait honnêtement une grande carrière. Oui, une petite carrière dans le sud-ouest et la jument vit des jours heureux, revendue comme poulinière. Avec une famille dans l’élevage, de propriétaires ou de turfistes, il était naturel que je sois pris par le virus des courses 🙂
Une expérience pour vous servir !
La bourse, j’en reviens à ce sujet, a des ressemblances avec les paris hippiques. Une société cotée peut être en période “bear” due à des évènements macro-économiques, due au secteur d’activité ou à due une défaillance des résultats.
Un cheval peut être contre performant en fonction d’une méforme passagère, d’un mauvais parcours, de mauvais choix des drivers ou jockeys.
La mutualisation des deux fait qu’il faut suivre et ne pas abandonner en cours de route son investissement car vous le rendrez déficitaire automatiquement.
